Challenge d’écriture n°33 – Texte n°3

Résultat

9ème au classement général.

  • Note finale : 11/20 ?????
    • Originalité : 5.6/10
    • Ecriture : 5.4/10

Commentaires des votants

Un texte avec des descriptions précises, et une accumulation de phrases longues ce qui le rend lourd à lire.
Des aérations (quelques phrases plus courtes, un dialogue, …) aideraient à la fluidité de la lecture, car là on se perd très vite. Dans mon cas, j’ai fait une pause avant d’entamer la partie « le cerbère ». Il y a des répétitions par endroit (par ex, quand on aborde le sujet des serpents de la chevelure), mais autrement, le champs lexical est assez riche.

+++

Un texte trop long avec une chute qui tombe à plat, à mon avis handicapé par le découpage en paragraphes d’intérêts inégaux. Cependant, de belles descriptions pyrotechniques et un respect du mythe des Enfers, plus un petit clin d’oeil aux lois de Sparte, me font un peu remonter ma note.

+++

un texte très étoffé aux nombreuses références (parfois trop scientifique peut-être?) à la mythologie grecque et peut-être à d’autres comme la génèse du Silmarillion de Tolkien ou … du jeu vidéo God of Wars (à travers la longue scène où la victime est déchiquetée et dévorée, comme l’intro avant que Kratos ne l’affronte)

Si le centre de la nouvelle est vraiment Cerbere, alors les premiers paragraphes gageneraient à être raccourcis et résumés de manière plus simple, car parfois on se perd 1 peu dans une beauté « lovecraftienne » (Dogon) qui est parfois dure à suivre.

Le récit est très imagé et très riche, mais attention à garder un rythme de lecture et le fil général de l’histoire: on a une impression de mouvement perpetuel qui pourrait servir le récit si elle donnait quand même de temps en temps au lecteur 1 pause pour reprendre son souffle (par ex. un arrêt sur une scène fixe, des dialogues, détails bio sur le seul perso qui prend 1 identité dans l’histoire, etc.)

1 regret : la chute = la fin fait sourire, c’est sûr, mais tout le reste avait l’air si sérieux… je ne sais pas sur quel pied danser.

+++

C’est confus dés le début. Comment le Néant peut-il engendrer l’Univers alors que l’Univers était déjà préexistant ?
De petites fautes d’orthographes. Des phrases à rallonge qui ne souffriraient pas d’une virgule par-ci par-là, au contraire. Je n’ai pas trop compris l’histoire des lumières violettes. La fin est pas mal.

+++

Bonne idée que de mettre en scène le chien des enfers et de nous régaler de visions du Styx etc. Mais quel dommage d’avoir fais un texte si fouillé et peu clair pour le lecteur même si ce dernier est un minimum averti en matière de mythologie grecque. Des répétitions malheureuses, quelques lourdeurs pénalisant la lecture et un sujet qui, bien que maîtrisé en devient complexe par le traitement.

+++

Un texte qui gagnerait à être aéré, l’absence de saut de ligne rend la lecture difficile.
Belle description du paysage.

Je suis en revanche moins fan de la multitude d’effets surnaturels funky et de la chute humoristique.

+++

Attentions aux répétitions (gouffre, porte, serpents, …)
Attention à ne pas confondre ou et où !
Je n’ai pas du comprendre la dernière partie et ce texte me laisse sur un sentiment d’inachevé. Du coup l’histoire est bien trop succincte par rapport à la masse de descriptions nécessaires au préalable.
De plus il y avait un paquet de mots avec lesquels je n’étais pas assez familiarisé pour pouvoir les apprécier à leur juste valeur.

+++

Les commentaires sont clos.