Challenge d'écriture n°28 – Texte n°3
Résultat
3ème au classement général.
- Note finale : 13.9/20
- Originalité : 7.1/10
- Écriture : 6.8/10
Commentaires des votants
quelques maladresses d’écriture mais l’histoire nous tient en haleine. J’ai cherché à comprendre l’histoire de la loi, et de la castration chimique… mais je n’ai pas compris.
Globalement bien écrit, même si narrativement parlant, on sent que tout est fait pour conserver un certain suspens, de manière de plus en plus artificielle à mon goût. D’autant plus que cela n’amène pas à une vraie relecture du texte.
Un thème malheureusement très actuel.
Je trouve que la fin rend peu crédible le début : si c’est une affaire de pédophilie, j’aurai plutôt tendance à penser que la dame serait littéralement hors d’elle. Pourtant, au début, on la sent énervée, mais rien d’extraordinaire non plus.
Et le coup de “trancher” quoi qu’il arrive semble extrême car on n’a finalement peu de détail sur le mari : est ce un prédateur ou un type qui va surfer sur des images dégueulasses sur internet (auquel cas, même dans le futur, je doute qu’on l’oriente vers une castration).
Enfin, un thème glauque en tout cas.
Le sujet est délicat et d’actualité, donc pour moi il y a une prise de risque et une originalité louable. Maintenant le traitement me pose soucis. C’est long à se mettre en place pour une chute un peu floue et qui tombe, du coup, à plat pour moi. Dommage.
Texte traitant d’une manière détournée un sujet épineux pouvant susciter chez le lecteur un questionnement, voir une prise de position. Si tel était le but recherché, c’est réussi et, en plus, c’est bien écrit.
Un sujet original et assez bien traité.
L’écriture est fluide et agréable, le sujet d’actualité est bien abordé sans tomber dans des prises de positions convenues. On évite les pièges du sensationnel tout en gardant un sujet original et une écriture efficace.
Par contre, je n’ai pas compris le rapport entre le titre et le texte (j’ai du rater quelque chose).
Attention aux répétitions, aux virgules.
Un officier c’est dans la gendarmerie.
Un thème ardu et chaud, fallait oser.