Challenge d’écriture n°44 – Nadrès Xilock

Résultats

  • Originalité : 5.5/10
  • Écriture : 6.5/10

Les Commentaires des votants

Comment qualifier cette oeuvre extraordinaire, sublime, confiant à la perfection et hum… non, franchement, je crois que je me manque de la distance nécessaire à m’auto-évaluer.
Pour ma cote, j’ai fait une moyenne de celles que j’ai données aux autres participants, et l’ai arrondie à l’unité supérieure à titre d’auto-encouragement.
(je laisse le choix au modo de baquer vite fait ce commentaire et ma note, ou de les publier tels quels, par amour de l’auto-dérision)

 » « Que pouvais-je pour les aider ? », suppliaient-ils.  »
Je suis pas sûr de la formulation, là…
« Celant notre gain dans cette opération »
SCellant ?
 » l’époque caniculaire précédent mon intervention  »
précédAnt ?
Je sais qu’il y a une phrase dans laquelle est écrit « une » au lieu de « un » mais je ne la retrouve plus.
Bon, sur ce, j’aime pas trop les textes à la première personne, je considère qu’il faut s’appeler Di Rollo, Lovecraft ou Palahniuk, sinon on en revient toujours au même point : Oh, je suis un cynique qui s’en tape de la mort, regardez comme je fais plein de sarcasme.
Sans rancune aucune, même si ça se passe dans un texte de SF, ça reste quand même très banal.
En ce qui concerne l’écriture en elle-même, j’ai déjà souligné quelques petites choses qui m’ont déplues. Mais tout le monde fait des erreurs lorsqu’il écrit, même moi.
Malheureusement des thermes comme bouboule, s’ends, me font prendre le personnage principal pour un beauf de l’espace.

Pas grand chose à redire sur ce très bon texte. Bien écrit, drôle (Bien qu’un peu un peu amer) dans une plus pure tradition SF.
Une vraie réussite à mes yeux et un coup de coeur, merci !

Une fin un peu rapide et sans réel explication. On a du mal à entrer dans cette histoire racontée trop vite par un narrateur dont on ne sait rien, même pas le nom.
« la métaphore était un euphémisme » : cette phrase ne sert à rien sauf à faire savoir qu’on connait ces deux mots.
« Célant notre gain » : « Scellant… »
Des passages parfois un peu trop longs.

Très bon texte, bien construit, bien écrit, agréable à lire. Classique dans son traitement, mais efficace.

Même si je suis amateur du côté cynique du personnage, j’ai tout de même eu du mal à rentrer dans l’histoire. Toutefois, j’avoue que le style est agréable à lire, même si j’ai vu la fin arriver assez tôt.

Je n’ai pas compris l’utilisation de « magnitude » pour un noyau planétaire (qui est une mesure de la luminosité en astrophysique si je ne me trompe).
Plusieurs fautes d’ortho et typo parsèment le texte.
J’aurais aimé plus d’info sur le stockage de l’énergie thermique, un des enjeux de la nouvelle. Cette énergie, il n’y a pas forcément besoin de la pomper depuis les planètes quand on a des réservoirs comme les étoiles.

Très bon 1e paragraphe d’accroche. Ca interpelle, et donne tout de suite envie de lire la suite.
Le texte est très agréable à lire, dans un style cynique bien maîtrisé, jusqu’à l’ultime retour de l’émissaire. A partir de la phrase « Pendant un moment, j’ai bien cru que les sages… », le récit décroche et les liens avec le début du texte se font moins naturellement. En fait, tu insistes tellement sur la placidité des Cornyriens qu’on a du mal à les imaginer hystériques en train de refuser le deal. De même, j’ai été surpris par le chiffre 16 milliards d’habitants. On s’attendait plus à une planète avec des communautés isolées, pas à une planète surpeuplée. Et pour terminer, la nouvelle faiblesse des cornyriens qui ne supportent plus les voyages devrait être amenée plus tôt dans le récit. Par exemple : « A force de se terrer dans les souterrains, la solide carapace des cornyriens était devenue un assemblage mou d’un blanc laiteux. »
Quelques tournures lourdes ou maladroites : plus cambrée qu’une demi-arche ; ils ne regrettèrent pas de m’avoir envoyé la sonder en détail ; Que pouvais je pour les aider

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