[Ex#1] Décrire des émotions

Bubonicus

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Les textes

La tristesse

Les cendres encore chaudes aurais du réchauffer son corps en partant des jambes pour doucement se propager vers son corps puis sa tête. Rien n’y faisait, son corps était parcouru de tremblement, il se frottait mécaniquement les bras, sa tête baissée oscillait au rythme du bruit ténu des brisants lointain.
Il se tenait là debout devant ces ruines. Son visage était recouvert de suie à l’exception de deux sillons plus claire tracés par les larmes qui continuaient de couler. Il relava la tête pour regarder à nouveau le désastre. Apercevant un reflet il chancela dans les décombres pour retrouver ce qui l’avait ébloui, il tomba a genou devant cet objet, ses mains tremblante s’approchèrent jusqu’à le saisir hésitèrent et finir par caresser le cadre à photo, ses mains rendu maladroites par l’émotion essayèrent de retirer la suie. Il releva le cadre et contemplât le sujet, une jeune femme brune, avec de grands yeux verts pétillant, un sourire franc relevant des pommettes bien pleine. N’en pouvant plus, il tomba la tête en avant, serrant la photo sur son cœur et laissa éclater sa peine avec des larmes qu’il ne pensait plus avoir est des soubresauts à s’en fendre les cottes.

La haine

L’équipe médicale n’en revenais pas, ce grand brûlé aurais du mourir depuis longtemps. Et pourtant il se tenait la sur le brancard serrant et desserrant les poings, en répétant sans arrêt ces mots haine, douleur, mort, vengeance comme une litanie, et ses derniers n’était pas pour rassurer les urgentistes.

***

Un immeuble d’un des quartiers d’habitations avait soudainement prie feu au milieu de la nuit, emportant avec lui tout les habitants, à l’exception de ce patient. Lorsque les pompiers arrivèrent sur place l’homme étais là debout brûlé entièrement de la tête au pieds entrain de regarder fixement le brasier, rien que la chaleur aurais du le faire s’évanouir, et pourtant il regardait cet immeuble, son immeuble, se consumer.
Le premier homme a lui porter secoure eu un mouvement de recul devant l’étendu des ravages que le feu avait causé a son corps, ses cheveux avais disparu, sa peau était complètement calcinée et laissé voir par endroit les muscles à vif, ses lèvres avaient étais ronger par les flammes, son crâne était apparent sur une bonne partie de sa tête, et pourtant il respirait et se tenais debout, ses dents s’entrechoquaient en un flot incompréhensible. Il dure s’y mettre à plusieurs pour le faire reculer et monter dans l’ambulance, et pendant ce temps il répétait sans arrêt ces quatre mots, haine, douleur, mort, vengeance.
Malgré les tranquillisants, son regard enfiévré portais en lui une démence indéniable, cet homme ne devais sa survie qu’à une seule chose, à la haine qu’il portait contre ceux qui avaient détruit sa vie, et a la promesse de vengeance qu’il s’était faite

Le regret

Le soldat Ryhan ce tenais debout fasse à ces ruines fumantes, en se posant toujours les deux même question. Pourquoi le sergent avais t il donné cet ordre ? Et pourquoi avais t il obéi
Bien sur avant tout c’était un soldat de la garde impériale, et un bon soldat suivait les ordres, aussi immorale qu’ils puissent paraître. Mais incendier une église impériale remplie de vieillards de femmes d’enfants… Depuis qu’il avais mis le feu a ce lieu sacré il n’était plus le même une part de lui s’était détaché. Il était resté devant ce bûcher à écouter les suppliques des prisonniers de ses flammes, les poings serrer regrettant déjà son geste en sachant pertinemment qu’il était trop tard.
Pourquoi, ce simple mot tournait dans sa tête en l’en faire exploser. Tournant finalement le dos à ce spectacle de cendres et de suie, il prie le chemin du campement. En sachant d’avance que ce soir les fantômes de ce bûcher l’attendraient ce soir dans ses songes et qu’ils lui poserais la même question : Pourquoi ?

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