Prédateurs
Une guerre sans nom. Le débarquement libérateur est imminent. Parmi les GI’s, la tension est extrême. Mais cela ne peut suffire à expliquer le crime abominable découvert sur l’un des navires alliés : un soldat a été retrouvé pendu à des crocs de boucherie, la tête remplacée par celle d’un bélier.
Le lieutenant Frewin de la Police militaire et l’infirmière Ann Dawson dépêchée sur les lieux en sont convaincus : c’est l’oeuvre d’un tueur redoutable qui jouit de la souffrance qu’il inflige. Malgré le déclenchement de l’offensive, les meurtres se poursuivent avec un raffinement croissant dans l’horreur.
Frewin et Dawson orientent alors leur enquête vers la 3e section de la compagnie Raven, une poignée de durs qui forme un cercle très spécial…
Prédateurs Le cycle de l'homme 2 Auteur : Maxime Chattam
Commentaire de Rendar
En situation de guerre, lors d’un débarquement de troupes américaines, le lieutenant Frewin de la MP se voit confié une affaire de meurtre des plus étranges. Un soldat à été retrouvé mutilé, la tête remplacée par celle d’un bélier, sur un des bateaux composant la flottille. Alors que l’enquête piétine et que d’autres meurtres, encore plus ignobles, sont commis dans les rangs de l’armée américaine, les soupçons de Frewin se portent sur une unité de combat du nom de Raven, composée de vrais durs et fonctionnant en cercle très fermé.
Et si le pire prédateur de la planète pour la race humaine était l’homme lui-même ?
Rempli d’action et très violent, ce roman mets en scène le meurtre certainement le plus horrible qu’il m’ait été jamais donné de lire. Ma femme s’est même arrêtée de lire le livre, c’est vous dire l’oppression qui émane de ce roman. La scène d’ouverture ne démériterais pas dans un film de guerre à gros budget et la réflexion posée par l’auteur pourrait se résumer par cette phrase bien connue : « L’homme est un loup pour l’homme »
Une très bonne lecture pour ma part que je conseille à ceux qui ont les nerfs bien accrochés.