Nightbringer
Uriel Ventris, fraîchement promu capitaine des Ultramarines, est chargé d’enquêter sur Pavonis, une planète impériale victime de désordres civils et de raids perpétrés par des pirates eldars.
Mais tout n’est pas si simple qu’il y paraît, de sorte qu’Uriel et ses alliés sont entraînés dans une course contre la montre pour détruire un mystérieux ennemi avant que la planète ne soit sacrifiée pour sauvegarder l’humanité.
Nightbringer
Auteur : Graham McNeill
Editeur : Bibliothèque interdite
Intérêt dans l'univers :
Commentaires de Baal-Moloch
Bon, c’est pas le meilleur de Graham McNeill et pour cause, c’est son tout premier livre.
Il l’admet lui-même dans l’avant-propos, certains passages mériteraient d’être revus.
On y sent une bonne volonté, un peu de naïveté dans la trame et l’écriture (d’un bon niveau tout de même, hein) et quelques grosses redondances qu’un bête dictionnaire des synonymes aurait pu pallier.
la lecture de Chaîne de Commandement (nouvelle parue dans Paroles de Sang) n’est pas indispensable mais est une bonne intro avant d’attaquer le livre.
Étrangement, Ario Barzano est nettement plus attachant qu’Uriel censé être le perso principal ; plus de profondeur, plus de charisme et plus d’humour.
Nightbringer ne marquera donc pas les annales, vous devriez survivre si vous ne l’intégrez pas à votre bibliothèque.
Commentaires de Rendar
Premier roman d’une saga dédiée au Ultramarines, ce roman est également le premier de Mr McNeill.
Il nous entraîne aux côtés de la quatrième compagnie des rigoureux Space Marine à l’armure bleue sur la planète Pavonis, en proie à des troubles internes et également la cible de raid Eldars Noirs.
Chargés de protéger un adepte de l’Administratum, le capitaine Uriel Ventris et ses soldats vont bientôt être pris dans un conflit planétaire dont l’objectif des ennemis de l’Imperium semble être le réveil d’une très ancienne divinité C’tan : Le Nightbringer.
Passons sur le pitch et le déroulement de l’histoire somme toute assez prévisible et sans grandes surprises, ce roman – qui m’avait été fortement déconseillé – n’est pas si mal que ça.
Certes, les ficelles sont grosses, certes, se servir d’Ultramarines qui gambadent comme simple ‘Gardes du corps n’est pas vraiment fluff (Comme bien d’autres choses dans ce roman)
Mais ça se laisse lire. L’atmosphère dégagée est très bien rendue, les personnages secondaires attachant (Le gouverneur, l’adepte, certains arbites) et ça fais plaisir d’en apprendre un peu plus sur les Eldars Noirs (Mais pas grand choses).
Loin d’être un incontournable, ce livre est néanmoins agréable à lire pour les hobbystes pas trop tatillons sur le respect du fluff.
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