Renaissances
La situation ne fait qu’empirer pour Ravenor et ses compagnons.
Leur enquête sur le trafic d’une substance impie connue sous le nom de flect les entraîne toujours plus profondément au cœur de la hiérarchie impériale, tandis que se fait jour une prophétie évoquant l’avènement d’une puissance démoniaque majeure.
En ces heures difficiles, la confiance de Ravenor repose entièrement sur ses compagnons ; confrontés à la redécouverte d’une antique abomination technologique, ils doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour endiguer la marée du Chaos et empêcher un cataclysme aux proportions galactiques.
Le destin de l’univers pourrait bien reposer sur un simple mot.
Renaissances Auteur : Dan Abnett Éditeur : Bibliothèque interdite Intérêt dans l'univers :
Commentaires de Rendar
Merci Dan Abnett.
Il n’y à rien à faire, il reste pour moi le meilleur auteur 40k et parmi les meilleurs de la SF. Ce tome suit l’intrigue du premier, continuant la remontée de la trace des ‘flects’ avec des rebondissements en cascade et des perspectives bien sombres pour le troisième et dernier tome.
Ravenor s’efface pas mal pour laisser place à ses acolytes pourtant, il n’à beau être qu’une chaise de métal aux pouvoirs psychique conséquents, il est ultra charismatique.
Je conseille à tous cette série et je réitère ma grande joie de voir l’univers 40k porté à nos yeux en français dans des romans de qualité.
Commentaires d’Atorgael
La suite logique du précédent avec ses réponses mais aussi de nombreuses autres questions.
Cette fois Ravenor et sa bande se trouvent sur une planète type de l’Imperium et c’est l’occasion pour l’auteur de nous faire découvrir les rouages de l’administratum. C’est excellent, bien décrit, plein de petits détails qui donnent de la vie au récit.
Difficile de parler du livre et de son intrigue sans trop en révéler.
Sachez seulement que Ravenor va s’attaquer à du lourd, du très lourd. Qu’il va par exemple devoir faire face à pas moins de 5 psychers complètement déchainés, un démon et à un adepte de l’Enuncia.
C’est quoi ce dernier truc me demanderez-vous. C’est tout simplement la transposition dans l’univers 40k de la « voix » que Paul Atréide enseigne aux Fremens sur Dune. Une sorte de magie résidant dans les mots. A défaut d’être original, c’est bien mis en place.
La seule chose qui me laisse dubitatif, c’est le fourvoiement de Ravenor sur une identité, je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher trop le plaisir de lire, mais je trouve ça un peu gros, même si ça aide bien le récit et ses rebondissements.
Encore un très bon moment de lecture.
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