Challenge n°19 – Texte n°6

Résultat

6ème au classement général.

  • Note finale : 12.3/20
    • Originalité : 7.0/10
    • Écriture : 5.3/10

Commentaires des votants

  • Bcp, bcp trop de fautes. Accords et conjugaison À revoir absolument. Cette petite fable est bien sympathique mais la fin m’a laissé sur ma faim. Dommage.
  • Sympathique. L’approche des Orcs m’a plu. Par contre, même si on a les stéréotypes des races en têtes, une évocation plus suggestive m’aurait semblée plus en adéquation avec le sujet du Challenge.
  • Quelques tournures maladroites ne viennent pas ternir ce récit original À la limite entre l’huis-clos et le conte philosophique. Dommage que les deux dernières phrases me restent si mystérieuses (en gros : j’ai pas compris ce que tu as voulu dire dans le dernier paragraphe …).
  • Un conte ou une fable originale, dont j’ai bien aimé la fin. Car il y a un gros problème à ce texte. On comprend qu’il ne s’agit d’un conte qu’à la moitié du texte (grosso modo, quand l’orque expose la raison d’Être de sa race). Mais en lisant la première partie, on se dit que cette histoire est vraiment invraisemblable : un nain, un elfe, un orque et un homme qui se retrouvent, par hasard dans une même grotte. Dans ce texte, le début laisse penser qu’on va suivre les aventures d’une jeune archère elfe qui va devoir braver les éléments pour se tirer de la mauvaise passe dans laquelle elle s’est fourrée en se laissant surprendre par la crue de la rivière. L’histoire étant une fable ou un conte avec une morale, il aurait à mon avis été plus judicieux de débuter par un poncif du genre : “il était une fois” et le mode de narration associé (imparfait etc…). On aurait tout de suite compris de quoi il s’agissait et personne n’aurait levé un sourcil interloqué en imaginant l’orque, le nain, l’elfe et l’humain qui se croisent par hasard dans la grotte.
  • Concept peut-être un peu vu par-ci par-là, mais intéressant. Seul vrai bémol : pour moi, les trois dernières lignes sont de trop. Elles relancent le texte sans le relancer et empêchent de rester sur la cupidité suicidaire du nain.

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