Challenge n°21 – Texte n°4
Résultats
4ème au classement général.
- Note finale : 13.4/20
- Originalité : 6.7/10
- Écriture : 6.8/10
Commentaires des votants
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La politique des peaux-vertes qui finit irrémédiablement de la même façon… Dans le sang. Mais c’est un début vers la civilisation…
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Un texte un peu trop convenu mais certes très plaisant.
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Il fallait bien que quelqu’un parle de gobelins, et c’est assez bien fait. Dommage qu’il reste des relents de rapport de bataille dans la description du combat.
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De l’idée, de l’humour mais la limite de 1000 mots semble t’avoir entravé, on pourrait espérer mieux.
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Le concept du texte est sympathique mais me parait presque hors sujet. Assez peu de rapport avec l’idée de la phrase dans la mesure où on parle d’une petite “révolution” et donc du courage de se libérer.
Sinon, faire attention lors de l’écriture. On a du mal à comprendre ce qui se passe au début. Le percepteur n’est pas assez introduit. Sinon, le concept du “Touplin” me plait bien et l’histoire est sympathique.
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La transition de l’orque qui compte les formes et le “soudain une forme…” est vraiment très brutale.
Peut être aurait il mieux valu décrire l’orque au travers des yeux du gob qui se jette sur lui. La description de la bataille tombe dans le piège de la liste d’armée GW : une liste de types de troupes issus du livre d’armée. Honnêtement, j’ai du mal à imaginer autre chose que des figs dans une partie de Wharhammer.
Il y a pourtant de bons passages, comme la prise de pouvoir par Cheglum (avec la foule qui lui fait les poches ;))
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Un texte un peu trop long, qui réutilise le concept de Gobbo le Rouge pour Gorkamorka, mais en le transposant à WH Battle. Il y a de l’humour, le sujet est globalement respecté mais la scène de bataille contre les Orques est superflue. Elle n’apporte rien par rapport au sujet et on aurait pu la zapper pour passer à l’épilogue.
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Confus est le mot qui me vient en premier. En second aussi d’ailleurs. Beaucoup de mal a voir qui est qui et qui fait quoi sans devoir relier 2-3 fois le texte. Ce qui n’est jamais bon signe.