Challenge d’écriture n°34 – Texte n°4

Résultat

4ème au classement général.

  • Note finale : 12.7/20 ?????
    • Originalité : 6.5/10
    • Écriture : 6.2/10

Commentaires des votants

De jolies descriptions, peut-être un peu longues, mais pas vraiment accroché au thème.

Je me questionne sur la finalité et l’utilité de ce texte. c’est une belle suite d’images métaphoriques mais sans réel sens ou histoire ni enjeu quelconque. C’est bien écrit – bien qu’un peu surchargé à mon gout – mais sans grand intérêt.

une fumée somnambule (x2) ?
guéris d’impatience après un bon roman ?
J’ai un peu de mal à visualiser tout ça.

Un texte onirique, sans véritables points de repère où le rattacher.
Avec un carnaval, une bête qui lit le journal…
J’ai trouvé étrange le fait que le bal ne soit pas de nuit, mais l’après midi. J’aurai précisé ce point en début de texte pour ne pas prendre le lecteur à contrepied.
Je suis par contre resté hermétique à l’histoire du diable et de dieu.
Je n’ai pas trop saisi qui était la mariée, et sa relation avec le diable.
J’ai aussi trouvé étrange le phrasé parfois paysan de la mariée, alors qu’à d’autres moments, elle s’exprime sans défauts.

Le mouton noir des 4 ! ^^
très différent de sujet, de style, de fond, on passe des 3 1er à celui-ci comme de Lanfeust à un film de Kitano (?)
Au-delà: pas assez aéré (style/forme), et trop personnel.
peut mieux faire.

Ce texte s’annonçait très bien par le style d’écriture recherché et l’accroche, mais le récit reste trop énigmatique par endroit pour vraiment en capter toute l’essence. Malgré plusieurs relectures, je passe à côté de certains détails, c’est vraiment dommage parce que c’est frustrant.

Une ponctuation des dialogues toute personnelle qu’il va falloir corriger.
Texte onirique et décalé à souhait.
Difficile d’accrocher à la forme qui utilise des expressions inattendues et surprenantes mais qui n’ajoutent rien au récit. Au contraire, elles finissent par le desservir.
Quant à l’histoire, je la cherche encore et même si je vois où tu veux nous emmener, cela reste confus.

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