Challenge d’écriture n°24 – Texte n°6

Résultat

5ème au classement général.

  • Note finale : 13.2/20
    • Originalité : 7.1/10
    • Écriture : 6.2/10

Commentaires des votants

Certaines phrases sont un peu trop alambiquées. Il y a des répétitions et des problèmes de cohérence de temps. Le texte est très original et bien mené mais certains termes choquent. la notion de “pas” en distance ne devrait pas apparaitre même si je devine que l’auteur a voulu faire référence aux expressions telles “à quelques pas de …”

Une faute sur chair alors que le mot est juste à reprendre, fatal ! Des phrases longues, trop longues. Un texte sur la dualité jeu/réalité. Pas plus convaincu que ça, trop “private joke”. La phrase de début n’est qu’un prétexte et ne sert pas le récit.

Style lourd, mots parfois peu pertinents, phrases longues… Mais idée vraiment très bonne est bien menée. La chute marche, mais le reste est un peu long et parfois mal écrit, à mon goût.

L’idée est sympa et la réalisation correcte, mais peut être que ça aurait pu être poussé plus loin.

Je reconnais que le texte est original mais ce filon de la description d’un champ de bataille de 40k (le jeu) a déjà été faite. Je le sais, c’était de moi ! (la frime ! hèhè ! ) Du coup, ça perd en originalité. J’ai aimé, par contre, cette insistance très « private joke » sur le caractère incongru de certaines règles. Même si ça rend le texte inaccessible aux non-joueurs, voire aux néophytes.

Un texte en deux parties, une première partie assez classique, et une seconde originale où on bascule dans l’absurde d’une table de jeu. Quelques fautes grossières ( arrivât, tançât), quelques lourdeurs (la métaphore de l’orage) ou tournures étranges (concentrés à scruter, indolore étonnamment,…) . On sent bien en tout cas que le “je tombai” de la phrase d’intro n’a pas spécialement inspiré l’auteur qui l’a traité juste comme un “faux pas” du personnage 😉

Bien joué. Un texte fantastoque dans les trois sens du terme. L’absurdité de la situation et son étrangeté nous prend petit à petit, comme le sergent. Seul bémol : la mise au point finale du sanguinaire n’était pas forcément nécessaire.

Le texte commence par quelques clichés “GW”, le 2e paragraphe donne une ambiance réussie, mais il est truffé de maladresses qui nuisent à la lecture. La rupture humoristique m’a bien plu mais la chute est très décevante en comparaison.

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